Saletés d’orages…
Cela fait deux fois que je plie en catastrophe sous l’orage, essayant d’aller plus loin encore que jeudi soir…
Jeudi, après le boulot, je rejoins les berges du Cher pour faire le coup du soir. J’arpente les postes de la veille pour essayer de tenter le frère jumeau du 1,85m de la veille. En réponse à mes offres « alléchantes », un sympathique 1,30m, bien virulent dans le courant, cède au déhanchement de mon shad avant de regagner son élément
Shad tout neuf, changement de poste, touche et décrochage d’un 1,20/1,30m.
J’insiste, mais l’idée d’aller persévérer sur un poste qui ne m’a, jusqu’à présent, jamais réussi se fait de plus en plus pressante. 10 minutes plus tard, je suis à pied d’œuvre.
4 lancers plus tard, je rate un glane au ferrage, mon LS ayant glissé sur la hampe lors de la touche. Je le réajuste, relance, ramène sur un mètre et pendu ! Le moustachu n’est pas gros (1,06m), mais me fait bien plaisir. Mon LS est mort, ainsi que mon bas de ligne.
Je raboute un mètre de fluoro, un émerillon et décide, pour le fun, de terminer la soirée au popper. Au 4ème lancer, un glane monte mais rate mon Splasher 120. Je poppe deux fois, et le bruit caractéristique d’un gobage « siluresque » se fait entendre sur la rivière alors que la châtaigne se fait ressentir dans la canne. Ferrage, le glane d’1,20/1,30m se retourne en surface et se décroche…
Ça y est, je suis encore plus accroc !!!
@+